L’investissement direct permet à une entreprise ou à un particulier fortuné de placer de l’argent dans une autre entité à des fins fiscales ou fiscales. Les grandes organisations ou sociétés sont des utilisateurs courants du processus d’investissement direct. Ce processus permet à une entreprise d’obtenir le contrôle d’autres entités, aidant efficacement l’entreprise investisseur à renforcer son empreinte économique. Deux façons courantes de réaliser ces types d’investissements consistent à acheter un grand bloc d’actions ou à utiliser un accord contractuel qui permet à la société investisseur de fournir à l’autre des capitaux externes.
L’achat d’actions par le biais du processus d’investissement direct se fait souvent par le biais d’un plan de réinvestissement des dividendes ou d’un plan de participation directe. La première option permet à une société ou à un seul grand investisseur d’acheter des actions d’une société et de réinvestir les dividendes ou les gains en capital reçus des actions dans la société investie. Cela nécessite l’utilisation d’une maison de courtage afin que l’investisseur puisse effectuer l’achat initial d’actions. Après cela, la société vendant les actions réinvestira simplement les dividendes et les gains en actions par elle-même.
Un inconvénient de cet investissement direct est que la société qui investit n’a aucun contrôle sur son investissement. Les dividendes et les gains en actions peuvent se produire lorsque les actions de la société investie sont extrêmement élevées. Cela se traduit par moins d’actions supplémentaires achetées et un investissement global inférieur. Ce plan n’est donc pas avantageux si les actions de la société investie continuent d’augmenter, ce qui réduit la capacité de l’investisseur à capitaliser sur son investissement.
Les plans de participation directe ne sont pas aussi courants dans un environnement commercial moderne, car ces plans étaient principalement des abris fiscaux. Toutefois, les modifications apportées à ce plan d’investissement réduisent les avantages qu’une entreprise recevra lorsqu’elle effectue un investissement direct en devenant partenaire des flux de trésorerie et des avantages fiscaux d’une autre entreprise. De plus, ces plans d’investissement étaient plus fréquents dans les secteurs de l’immobilier et de l’énergie. Ces limitations restreignent également les avantages reçus de ce plan d’investissement.
Faire un investissement direct important dans une entreprise par n’importe quelle méthode peut obliger une entreprise à ajuster son système d’information financière. Les normes comptables nationales dicteront comment la société qui investit doit déclarer son investissement dans les états financiers. Quelques normes de base existent cependant. Par exemple, les investissements dont la propriété est inférieure à 25 % entraîneront très probablement la société investisseuse à déclarer l’investissement comme une participation au capital. Entre 26 et 50 %, la société peut déclarer l’investissement comme une participation de gestion où la société qui investit peut influencer une décision sur l’autre entreprise. Les participations dépassant 50 % peuvent entraîner une relation mère-filiale. Cela oblige la société mère à présenter les informations financières de la filiale dans un seul état financier consolidé.