Les actions de prêt sont des actions ordinaires ou privilégiées qui sont actuellement utilisées comme garantie ou garantie sur un certain type d’arrangement de prêt. Parfois connue sous le nom de financement par actions de prêts de portefeuille, cette approche peut utiliser un prêt garanti ou non garanti dans le cadre de la stratégie d’investissement. Dans les deux cas, le processus permet de bénéficier de rendements sous la forme d’un taux d’intérêt fixe attaché au prêt. En cas de défaut de paiement du prêt, la propriété des actions mises en gage est transférée au prêteur qui peut choisir de conserver les actions ou de les vendre afin de compenser la perte.
Il y a plusieurs avantages associés à l’idée de stock de prêt. Les investisseurs qui ont besoin d’un prêt dans un but précis mais qui ne souhaitent pas mettre en gage des biens immobiliers peuvent utiliser une partie d’un portefeuille d’investissement comme garantie pour l’accord de prêt. Pendant la durée du prêt, l’investisseur bénéficie toujours de tous les avantages liés à la détention de ces actions, y compris la perception des dividendes générés par les actions. Dans certains cas, l’emprunteur peut utiliser ces dividendes pour aider à rembourser le solde du prêt, ce qui permet de régler le prêt en totalité avant la date d’échéance.
Un inconvénient d’un arrangement d’actions de prêt est que l’investisseur n’est pas libre de vendre les actions à volonté pendant la durée du prêt. Pour ce faire, l’emprunteur doit s’entretenir avec le prêteur et recevoir l’autorisation d’initier une vente. En fonction du solde restant sur le prêt au moment où l’autorisation est accordée de vendre les actions mises en gage, le prêteur peut réclamer le produit de la vente pour régler le solde, ou exiger de l’emprunteur qu’il fournisse un autre bien en garantie, éventuellement un autre titres actuellement en portefeuille.
Il est également possible que si la valeur des actions mises en gage diminue de manière significative au cours du prêt, l’investisseur se trouve dans l’obligation de mettre en gage des actions supplémentaires pour le prêt. Cette approche empêcherait de plus en plus l’investisseur de négocier librement les actifs détenus dans le portefeuille, l’empêchant peut-être de s’engager dans des transactions qui s’annoncent lucratives. Bien que le concept de stock de prêt soit souvent attrayant pour certains types de prêts susceptibles d’être réglés en cinq ans ou moins, l’utilisation de cette approche peut ne pas être dans le meilleur intérêt de l’emprunteur si le prêt est d’une durée prolongée.