Plusieurs facteurs peuvent influer sur les taux de survie au cancer du poumon, notamment le type de cancer du poumon dont souffre le patient. D’autres facteurs, tels que le stade du cancer et la taille de la tumeur pulmonaire, affectent également l’espérance de vie du cancer du poumon. Le pronostic du cancer du poumon peut également être affecté par d’autres problèmes de santé sous-jacents dont souffre le patient.
Les deux principaux types de cancer du poumon sont à petites cellules et non à petites cellules. Les cas de cancer non à petites cellules ont tendance à avoir un meilleur pronostic. Le cancer du poumon à petites cellules se trouve souvent à un stade avancé et a tendance à être plus agressif.
Une fois qu’un diagnostic de cancer du poumon est confirmé chez un patient, l’étape suivante consiste à stadifier le cancer. Le processus de stadification détermine si et où le cancer s’est propagé au-delà des poumons. Le pronostic a tendance à être meilleur si le cancer ne s’est pas propagé au-delà des poumons et s’il n’est pas dans les ganglions lymphatiques.
La taille de la tumeur peut également influencer les taux de mortalité par cancer du poumon. Bien que les tumeurs de toutes tailles puissent être traitées, les petites tumeurs sont généralement plus faciles à traiter. Les grosses tumeurs peuvent être inopérables et rendre le traitement plus difficile, ce qui peut avoir un impact sur les taux de survie.
La réponse au traitement est un autre facteur qui influence les taux de survie. Les traitements du cancer du poumon comprennent la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Les patients réagissent différemment et ont des effets secondaires de gravité variable. Dans certains cas, les patients doivent arrêter le traitement en raison d’effets secondaires graves, tels que des infections. Dans d’autres cas, les patients tolèrent bien le traitement et peuvent continuer la chimiothérapie pendant des années, ce qui prolonge la survie.
Un autre facteur qui affecte les taux de survie au cancer du poumon est l’état de santé général du patient. Traiter le cancer du poumon avec d’autres conditions médicales coexistantes est plus difficile. Certains traitements, tels que la chirurgie ou la chimiothérapie, peuvent également ne pas être tolérés. Si le patient a également d’autres problèmes de santé sous-jacents, comme une maladie cardiaque, le diabète ou l’emphysème, les taux de survie au cancer du poumon ont tendance à être plus faibles.
Les taux de survie au cancer du poumon sont également influencés par la présence de symptômes tels que la difficulté à respirer, la toux et la respiration sifflante. Certains patients peuvent ne présenter aucun symptôme aux premiers stades du cancer du poumon.
Comme pour tous les types de cancer, les médecins continuent de rechercher de nouvelles façons de traiter le cancer du poumon. Les patients diagnostiqués avec un cancer du poumon doivent se renseigner sur les traitements disponibles, tels que les essais cliniques, qui peuvent augmenter les taux de survie au cancer du poumon. Il est important de se rappeler que l’espérance de vie du cancer du poumon peut s’améliorer à mesure que de nouveaux traitements sont approuvés et mis en œuvre.