La mémoire autobiographique définit les informations dont une personne se souvient au cours de sa vie et comprend des périodes de temps spécifiques, certains événements et des occasions générales. Le cerveau imprime les faits importants de ces souvenirs dans une partie particulière de l’esprit et rejette les informations inutiles. Les gens utilisent la mémoire autobiographique pour former leur identité, pour créer des liens sociaux et réguler le comportement futur à partir d’expériences passées.
Les périodes de vie dans la mémoire autobiographique peuvent inclure le temps qu’une personne a passé à l’école ou à travailler dans un emploi particulier. Ces souvenirs restent généralement vifs au début et à la fin des périodes de temps, mais peuvent être flous au milieu. Certains événements survenus au cours de ces périodes de la vie peuvent également être rappelés avec clarté, comme une étape importante alors qu’ils vivaient dans une maison spécifique.
La mémoire autobiographique comprend des événements généraux qui se sont produits au cours de la vie d’une personne. Le rappel d’une occasion peut déclencher le souvenir d’un incident similaire qui se démarque comme un moment où une personne s’est exceptionnellement bien ou mal comportée. Ces souvenirs créent un sentiment de soi et contiennent généralement des détails saisissants.
La connaissance spécifique à un événement implique généralement un rappel total des principaux thèmes de la vie d’une personne, tels que le début d’une expérience qui change la vie. Les moments de changement significatif, ou les événements qui déterminent le comportement futur, sont catalogués dans le cerveau différemment des connaissances générales au cours de chaque période de la vie. Ces souvenirs contiennent généralement des faits précis qui ne changent pas avec le temps.
Les psychologues définissent la mémoire autobiographique différemment des autres formes de rappel, telles que la mémoire sémantique et la mémoire épisodique, mais certains chevauchements peuvent exister. La mémoire sémantique représente des informations abstraites apprises ou mémorisées au cours d’une vie, telles que le lieu de naissance d’une personne ou l’emplacement d’un bâtiment particulier. Le cerveau encode la mémoire sémantique différemment de la mémoire autobiographique, qui dénote un rappel passif qui ne nécessite pas de mémorisation.
La mémoire épisodique active une partie du côté droit du cerveau non active avec la mémoire autobiographique. Ce type de rappel permet à une personne de se souvenir de personnes, de périodes ou de lieux spécifiques. Les souvenirs peuvent être déclenchés par un parfum ou ce que quelqu’un portait dans le passé, et l’événement est essentiellement revécu par la mémoire.
La recherche montre que la mémoire autobiographique et la mémoire épisodique se chevauchent lors du rappel de l’ampoule. Cela se produit lorsqu’un incident est si important qu’il choque le cerveau, comme un attentat terroriste ou l’assassinat d’un président. Ces souvenirs restent conservés en détail en tant que souvenirs épisodiques et également dans les connaissances spécifiques à l’événement.
La mémoire implique des altérations du rappel au fur et à mesure qu’une personne acquiert de nouvelles expériences. Cela pourrait changer avec le recul et un point de vue différent, appelé mémoire de reconstruction. La mémoire de terrain se produit lorsqu’une personne conserve la conception originale de ce qui s’est passé, souvent avec des détails précis.