Le coût du capital est un terme qui a à voir avec la détermination du montant du rendement qui doit être généré afin de justifier les dépenses associées à un projet ou à une activité donnée. Avec plusieurs approches différentes pour effectuer cette évaluation, il est nécessaire de choisir la meilleure approche possible du coût du capital pour la tâche à accomplir. Avec plusieurs approches différentes couramment utilisées, prendre le temps d’explorer les mérites de chacune facilitera le choix de la méthode qui aidera à prendre une décision commerciale judicieuse.
Une approche courante du coût du capital est connue sous le nom de coût moyen pondéré du capital (CMPC). Cette stratégie consiste à identifier le coût du capital en s’assurant que chaque catégorie ou type de capital est pondéré dans une proportion qui est dans le meilleur intérêt de l’entreprise et des actionnaires. Cela nécessite de rechercher l’équilibre optimal entre toute dette à long terme détenue par l’entreprise par rapport à toute émission d’actions ou d’obligations qui figure également dans les registres financiers de l’entreprise. L’idée est de s’assurer que l’équilibre dans le financement des actifs de l’entreprise indique un fonctionnement financièrement stable et pas trop endetté.
Une approche légèrement différente du coût du capital est connue sous le nom de coût différentiel du capital (ICC). Avec cette approche, l’accent est mis sur la détermination du coût supplémentaire que l’entreprise assumera si une unité supplémentaire de dette ou de capitaux propres est prise en charge. L’idée est de mesurer l’impact que le risque d’endettement ou de capitaux propres a sur la solidité globale de l’entreprise, ce qui permet de décider plus facilement si le déménagement est en fait dans le meilleur intérêt de toutes les personnes concernées, ou si l’ajout d’une unité supplémentaire de la dette ou des capitaux propres produit si peu d’avantages que l’activité devrait être abandonnée. En même temps, cette méthode peut permettre de déterminer le montant idéal de dettes ou de fonds propres à assumer sur une période de temps et d’obtenir des résultats qui contribuent à renforcer les perspectives de l’entreprise.
Le choix de l’approche du coût du capital à utiliser dépend du type de situation auquel l’entreprise est confrontée et de la nature des décisions qui doivent être prises concernant un projet proposé. Ces facteurs peuvent donner un aperçu des avantages à court et à long terme susceptibles d’être réalisés, ainsi que révéler des passifs potentiels qui compromettent la possibilité de rendre une tâche ou une activité intéressante. Il n’est pas rare qu’une entreprise utilise chaque approche du coût du capital en relation avec le même projet, une stratégie qui contribue à augmenter les moyens d’évaluer le potentiel d’une nouvelle activité, couvrant effectivement plus de bases et fournissant des informations qui la rendent plus facile de se mettre d’accord sur une ligne de conduite finale.