Bien que beaucoup puissent considérer cela comme peu pratique, le seul moyen infaillible d’éviter d’attraper la chlamydia est de ne jamais avoir de rapports sexuels d’aucune sorte. Cette maladie sexuellement transmissible (MST) se transmet par tous les types de rapports sexuels, y compris les rapports sexuels oraux et anaux. Étant donné que la plupart des gens n’éviteront probablement pas complètement les rapports sexuels, il est important de comprendre les moyens de réduire le risque d’attraper la chlamydia. Il s’agit notamment de toujours utiliser des préservatifs pour toutes les parties des rapports sexuels, d’avoir un partenaire sexuel monogame et d’éviter les rapports sexuels avec toute personne susceptible d’avoir la MST. Des tests réguliers sont également importants.
La chlamydia peut être présente dans la gorge ou l’anus. Malheureusement, les gens ne considèrent pas toujours le contact avec ces zones comme un risque d’attraper la chlamydia. C’est une pensée très dangereuse. À moins que deux personnes ne sachent qu’elles sont complètement indemnes de la maladie, le contact oral/génital et anal/génital doit être effectué avec une couverture appropriée.
Les préservatifs féminins ou masculins, qui ne sont jamais utilisés en même temps pour un rapport sexuel standard, réduisent considérablement les risques d’attraper la chlamydia. Ils fournissent une barrière nécessaire entre l’infection à chlamydia de quelqu’un d’autre et vous, en éliminant le contact peau à peau. Cela réduit efficacement les risques de contracter la plupart des MST.
Une relation sexuelle monogame est un autre moyen d’éviter d’attraper la chlamydia, à condition que les deux personnes dans cette relation soient fidèles. Si l’un des partenaires a déjà été sexuellement actif, le dépistage des MST doit avoir lieu avant l’activité sexuelle. Avec ce dépistage, les partenaires peuvent être relativement certains qu’ils ne partageront pas la chlamydia ou d’autres MST entre eux.
Il est bien établi que le fait d’avoir plusieurs partenaires sexuels augmente le risque d’attraper la chlamydia. Cette pratique est positivement corrélée à un risque plus élevé de contracter la maladie. La corrélation prouvée suggère que les gens seront plus susceptibles d’éviter d’attraper la chlamydia s’ils réduisent leur nombre de partenaires. En fin de compte, les individus doivent décider si l’augmentation du risque de MST est un prix raisonnable pour des engagements sexuels multiples.
Certains risques peuvent être réduits en évitant les rapports sexuels avec des partenaires infectés. Il est important de noter que l’état de l’infection ne peut être déterminé que par le test de la chlamydia, car la maladie peut être asymptomatique. De plus, rester indemne de maladie après un test signifie accepter la monogamie pour la durée d’une relation sexuelle.
À mesure que la sensibilisation au VIH augmentait à la fin du 20e siècle, de nombreux couples ont été incités à subir un test de dépistage des MST avant d’avoir des rapports sexuels. De cette façon, les partenaires savaient qu’ils entraient dans la relation avec une table rase. Alternativement, ils ont reçu le traitement nécessaire avant de participer à des relations sexuelles.
Cette pratique a fortement diminué, mais la reprendre aurait du sens. Ce n’est utile, cependant, que si la relation reste monogame. Avoir des relations sexuelles non monogames introduit le risque d’attraper à nouveau la chlamydia. Si cela se produit, les partenaires doivent refaire le test pour éviter la maladie. Les relations sexuelles doivent être interrompues si l’un des partenaires a la MST, et le partenaire non infecté doit se faire tester s’il y a été exposé.