L’objectif de nombreux budgets de maison est la réduction des dépenses de carte de crédit à un niveau où la totalité du solde est payée chaque mois et aucun intérêt n’est dû. Cet objectif peut être atteint avec un travail acharné, une attention aux habitudes de dépenses et un ratio bénéfices-dépenses suffisant. Les dépenses excessives par carte de crédit constituent un danger permanent pour la santé financière de nombreuses personnes.
La première étape pour réduire les dépenses par carte de crédit consiste à évaluer quels biens ou services sont achetés à crédit. Un consommateur peut choisir de tenir un registre des frais de carte de crédit exactement de la même manière que les registres de chèques. Les dépenses sont saisies au fur et à mesure, avec des annotations indiquant le motif de l’achat ainsi que la date et le montant. Au fil du temps, des modèles peuvent émerger, même s’il faut parfois plusieurs mois pour qu’ils deviennent apparents.
De nombreuses dépenses seront nécessaires et inévitables. Quelques-uns peuvent être le résultat d’impulsions, de sautes d’humeur, de dépression ou d’autres dépenses de confort, et sont des cibles faciles dans la quête pour réduire les dépenses par carte de crédit. Le débiteur, titre dur mais précis, peut rappeler non seulement la raison de l’achat mais aussi son humeur du moment. En examinant les événements précédant l’achat, le titulaire de la carte de crédit peut se rendre compte que certains déclencheurs sont associés à la transaction, comme la colère, la frustration, l’ennui, la douleur ou la solitude. D’autres déclencheurs peuvent être l’emplacement, une heure particulière de la journée ou une certaine activité.
Une fois le déclencheur identifié, il est désarmé par le choix conscient d’un comportement de substitution. Lorsqu’ils ne sont pas dans l’environnement d’achat, les titulaires de carte de crédit doivent prévoir une autre activité de confort, comme une promenade, un appel téléphonique à un ami ou l’achat d’un magazine. La réponse doit être aussi satisfaisante et de nature aussi opposée que possible à l’essence du paramètre de déclenchement évité. L’anticipation des environnements qui engendrent des dépenses non désirées par carte de crédit permet de faire des choix alternatifs sous pression.
Si les dépenses impulsives ne sont pas le problème, le titulaire de la carte de crédit peut souhaiter trier les dépenses mensuelles en trois colonnes intitulées : Nécessaire, Agréable à Avoir et Très Agréable à Avoir. Si les dépenses de Nice to Have dominent, l’analyste examine si l’un des Very Nice to Haves est disponible si le Nice to Haves est réduit de 50% à 75%. En gardant une liste dans un portefeuille des Very Nice to Haves, le consommateur est rappelé du prix réel payé pour un article Nice to Have.
Parfois, des options plus extrêmes peuvent être nécessaires. Refuser de transporter des cartes lorsque vous êtes loin de chez vous, les couper ou les remplacer par des cartes de débit peut entraîner une réduction marquée des dépenses par carte de crédit. Une autre technique consiste à mettre en espèces les fonds disponibles qui dépassent les dépenses fixes mensuelles et à n’utiliser l’argent comptant que lors d’achats impulsifs ou agréables à avoir.
Réduire les dépenses de carte de crédit est également possible en réduisant la dette totale de carte de crédit. Tout en mettant en œuvre autant de possibilités ci-dessus que possible, le titulaire de carte paie le minimum sur toutes les cartes de crédit et les fonds disponibles maximum sont payés sur la carte avec le solde le plus bas jusqu’à ce que cette carte soit remboursée. Ensuite, le solde minimum de cette carte plus tous les fonds excédentaires disponibles sont appliqués à la carte suivante avec le solde le plus bas, jusqu’à ce qu’une seule carte ait un solde et que ce solde soit payé mensuellement.