Les nucléophiles sont riches en électrons. En raison de la présence d’un nuage d’électrons délocalisés sur le cycle benzénique, l’attaque nucléophile est difficile. Par conséquent, le benzène subit difficilement des substitutions nucléophiles.
Pourquoi le benzène ne montre-t-il pas de substitution nucléophile ?
Pourquoi le benzène ne subit-il pas de réactions de substitution nucléophile ?
En raison de la présence d’un nuage d’électrons d’électron délocalisé sur le noyau benzénique, l’attaque nucléophile est difficile et ne subit donc normalement pas de réaction de substitution nucléophile. Ainsi, de préférence, une substitution électrophile se produit.
Le benzène peut-il agir comme nucléophile ?
Le benzène est un nucléophile en raison de ses électrons délocalisés. La molécule possède des zones riches en électrons qui lui permettent de les donner aux électrophiles.
Le benzène subit-il des réactions de substitution ?
Pourquoi le Benzène ne subit-il que des réactions de substitution électrophiles ?
Cette propriété peut être attribuée à la remarquable stabilité du Benzène, due aux 6 électrons délocalisés formant un ᴨ nuage d’électrons.
Le benzène peut-il être éliminé ?
Le benzène ne peut pas subir de réaction d’élimination. En effet, la synthèse du phénol à partir du chlorobenzène ne procède pas par le mécanisme d’addition-élimination.
Le benzène peut-il subir une substitution radicalaire ?
Le H du cycle benzénique peut être remplacé par un Br via une substitution de radicaux libres. Cependant, l’absence du composé dibenzène, dont deux cycles benzéniques sont relié