Les réglementations sur la confidentialité sont des règles et des lois qui déterminent la manière dont les informations doivent être traitées. Cela inclut les informations stockées, demandées ou partagées. Ces réglementations peuvent s’appliquer aux particuliers, aux entreprises ou aux gouvernements.
La vie privée est généralement considérée comme un droit fondamental. Dans de nombreux pays, la question est prise si au sérieux que les réglementations sur la confidentialité de certaines entités sont élaborées au niveau fédéral. Par exemple, aux États-Unis, la Federal Trade Commission (FTC) dicte la manière dont la confidentialité doit être gérée par les institutions financières. Ces règlements précisent non seulement quelles entités peuvent être définies comme des institutions financières, mais ils précisent également comment celles qui sont admissibles doivent agir dans certaines circonstances.
Les réglementations sur la protection de la vie privée peuvent également être fixées à des niveaux inférieurs de gouvernement. Dans certains cas, la réglementation n’est pas une question de droit. Au lieu de cela, les institutions peuvent se lier à certaines procédures et normes de leur propre chef.
Les informations, dans de nombreux cas, sont sensibles. Lorsqu’une personne se rend chez le médecin, un dossier est généralement conservé pour son bien-être et pour la protection de ceux qui l’ont soignée. Lorsqu’une personne effectue une transaction financière, un enregistrement est souvent conservé pour assurer une comptabilité appropriée. De tels enregistrements peuvent bénéficier à la fois au client et au prestataire de services. Si, toutefois, ces informations sont obtenues par un tiers, la vie privée d’une personne peut être violée et des problèmes peuvent s’ensuivre.
Les réglementations sur la confidentialité dictent de nombreuses relations entre de nombreuses entités. Dans certains cas, ces règles déterminent les procédures pour répondre aux demandes lorsqu’une partie cherche des informations concernant un tiers. Certains tiers n’ont pas le droit d’obtenir des informations sans le consentement de la personne concernée par les informations. Cela peut même être vrai si le tiers est un conjoint ou un parent.
Il peut également y avoir une limite quant aux informations que l’on peut divulguer. Par exemple, si une personne est impliquée dans un accident de voiture, une compagnie d’assurance automobile peut demander des dossiers médicaux concernant les affections liées à cet événement. Cela ne donne toutefois pas à la compagnie d’assurance automobile le droit d’accéder à l’intégralité du dossier médical d’une personne.
Donner à quelqu’un des informations auxquelles il n’a pas droit n’est pas le seul moyen de violer la vie privée de quelqu’un. Il faut également veiller à stocker les informations réglementées d’une manière qui montre un effort pour protéger la vie privée des personnes auxquelles elles se rapportent. Une banque, par exemple, pourrait être reconnue coupable d’avoir enfreint les règles de confidentialité si les dossiers financiers sont stockés dans une remorque ouverte derrière l’établissement.
Faire preuve d’efforts appropriés pour protéger les informations sensibles tient également compte de la manière dont une entité communique avec une personne à laquelle elle est associée. Les réglementations sur la confidentialité peuvent réglementer, par exemple, les éléments qui peuvent et ne peuvent pas être envoyés par la poste. Dans de nombreux cas, seules certaines informations peuvent être partagées par téléphone. Lorsque ces informations sont personnelles, des efforts doivent généralement être faits pour vérifier l’identité de la personne qui est en ligne.