Le Saint Dieu, ayant par une longue et continue série de ses dispensations afflictives dans et par la guerre actuelle avec les indigènes païens de cette terre, a écrit et fait passer des choses amères contre son propre peuple de l’Alliance dans ce désert, mais de sorte que nous discernons évidemment qu’au milieu de ses jugements, il s’est souvenu de la miséricorde, s’étant souvenu de son tabouret au jour de son mécontentement douloureux contre nous pour nos péchés, avec de nombreuses indications singulières de sa compassion paternelle et de son respect; en réservant beaucoup de nos villes à la désolation menacée et tentée par l’ennemi, et en nous donnant surtout ces derniers temps avec beaucoup de nos confédérés de nombreux avantages signalés contre eux, sans un tel désavantage pour nous-mêmes comme nous en avons été conscients autrefois, si c’est le Seigneur. miséricorde que nous ne soyons pas consommés, cela témoigne certainement de notre gratitude positive, lorsque nos ennemis sont en quelque sorte déçus ou détruits ; et craignant que le Seigneur ne s’aperçoive sous tant d’avertissements de sa miséricorde de retour, nous serions trouvés un peuple insensible, comme ne se tenant pas devant lui avec des actions de grâces, ainsi que le chargeant de nos plaintes au moment des afflictions pressantes :
Le Conseil a cru bon de nommer et de mettre à part le 29 de ce mois de juin, comme un jour d’action de grâce solennelle et de louange à Dieu pour sa bonté et sa faveur, de nombreux détails dont la miséricorde pourrait être invoquée, mais nous ne doutons pas de ceux qui sont sensibles aux afflictions de Dieu, ont été aussi diligents à le voir revenir vers nous ; et que le Seigneur puisse nous voir comme un peuple offrant des louanges et le glorifiant ainsi ; le Conseil le recommande aux Ministres respectifs, aux Anciens et au peuple de cette Juridiction ; Solennellement et sérieusement à garder le même Suppliant qu’étant persuadés par la miséricorde de Dieu, nous puissions tous, même tout ce peuple, offrir nos corps et nos âmes comme un service vivant et acceptable à Dieu par Jésus-Christ.
20 Juin 1676