Les lois sur les droits de succession exigent que les particuliers et les organisations qui sont les bénéficiaires de biens immobiliers et personnels qui leur sont légués par testament ou qui leur sont donnés conformément aux lois régionales paient des impôts. Les droits de succession ne sont pas les mêmes que les droits de succession, dans lesquels la succession elle-même est imposée et doit être payée avant tout transfert d’actifs. Des taux d’imposition variables sont souvent applicables au sein d’une même juridiction, en fonction de la relation entre la personne qui hérite de la propriété et le défunt. Les enfants sont souvent imposés à un taux d’imposition inférieur, par exemple. Certaines lois régionales et nationales permettent à certaines personnes d’être exonérées des droits de succession, comme dans le cas d’un conjoint survivant.
Les lois sur les droits de succession sont considérées comme un impôt sur le droit de succession. Il n’est pas considéré comme une forme d’impôt foncier en vertu de la plupart des lois régionales et nationales. Lorsque les taxes appropriées ne sont pas payées, la personne qui a hérité du bien n’a pas obtenu de droit de succession. Cette propriété est alors soumise à la collecte, ou la région peut rechercher des actifs personnels pour payer la dette fiscale. Les lois sur l’impôt sur les successions, en revanche, sont souvent une imposition sur le droit de transférer des biens.
De nombreuses régions n’ont pas de lois sur les droits de succession. Ces juridictions ont souvent des lois sur l’impôt sur les successions, mais de nombreux endroits suppriment également ces lois. Il n’y a pas de lois fiscales uniformes sur les successions, à moins que ces lois fiscales ne fassent partie d’un code fiscal national. Les lois de chaque région varient, certaines juridictions offrant des taux d’imposition plus élevés ou plus bas aux résidents de la même région pour des personnes spécifiques. Par exemple, l’enfant du défunt peut être totalement exonéré d’impôts, ou il peut payer un taux beaucoup plus bas que ce que l’oncle d’un défunt devrait payer.
Une façon d’éviter les impôts imposés par les lois sur les droits de succession est d’être le résident légal d’une juridiction qui n’en a pas. Les personnes qui souhaitent limiter l’assujettissement à l’impôt de ceux qui reçoivent leurs dons après leur décès peuvent choisir d’accorder des dons au lieu de laisser un héritage plus important. D’autres formes d’impôts peuvent s’appliquer, mais les taux d’imposition, les déductions et les exonérations peuvent être inférieurs à ce qui serait dû en vertu des lois sur les droits de succession. Il y a souvent une limite sur le montant du don qui peut être transféré annuellement sans déclencher les taux d’imposition sur les successions. Les sommes versées pour certains services, tels que les frais médicaux, peuvent également être transférées sans limitation et sans devoir payer de droits de succession.