Quels facteurs affectent le droit au congé de maternité ?

De nombreux employeurs offrent une certaine forme de droit au congé de maternité, mais les détails varient d’une entreprise à l’autre, notamment en ce qui concerne la durée du congé et le salaire concerné. L’un des principaux facteurs est le travail lui-même, car certaines entreprises exigent que les employés utilisent leurs congés de maladie, leurs jours personnels et leurs vacances pour obtenir des congés payés, tandis que d’autres laissent les femmes les ajouter à leur congé de maternité pour le prolonger. En outre, certaines entreprises aux États-Unis doivent adhérer à la Family and Medical Leave Act (FMLA), tandis que d’autres ne le font pas. En effet, le lieu de travail a beaucoup à voir avec le droit au congé de maternité, sur lequel les lois locales ont tendance à différer.

La plupart des entreprises offrent du temps libre aux nouvelles mamans, mais certaines sont plus accommodantes que d’autres. Dans de nombreux cas, le congé de maternité est une combinaison de congés de maladie, de congés personnels et de vacances. Les vacances, les congés familiaux non rémunérés et l’invalidité de courte durée peuvent également être additionnés pour créer de six à 12 semaines d’arrêt de travail. Certaines entreprises, cependant, offrent au moins six semaines de droit au congé de maternité, puis permettent aux femmes d’ajouter leurs congés de maladie, leurs vacances et leurs jours personnels non utilisés pour allonger le temps de congé. De plus, alors que de nombreuses entreprises offrent au moins quelques congés payés, peu d’entre elles paient la totalité du congé de maternité. Les femmes doivent donc consulter le service des ressources humaines de leur employeur avant de décider du temps de congé qu’elles peuvent se permettre.

Certaines régions ont mis en place des lois pour protéger les nouvelles mères, garantissant qu’elles peuvent prendre du temps avec leur bébé sans perdre leur emploi. Par exemple, les États-Unis appliquent la FMLA, qui oblige les entreprises à accorder aux nouveaux parents 12 semaines de congé sans solde, avec la garantie que leur emploi, leurs avantages et leur salaire resteront les mêmes lorsqu’ils retourneront au travail. La loi, cependant, ne s’applique qu’aux emplois du gouvernement et aux entreprises d’au moins 50 employés. De plus, l’employé doit avoir travaillé pour l’entreprise pendant au moins un an, en moyenne 25 heures ou plus par semaine pendant cette période. Il existe certaines exceptions à la loi, il est donc conseillé aux femmes de vérifier si elles sont éligibles lorsqu’elles envisagent de bénéficier d’un congé de maternité.

De plus, certains États ont des lois plus strictes que la FMLA, de sorte que les femmes doivent connaître les règles dans leur domaine spécifique. Par exemple, certains États américains exigent que les entreprises offrent une invalidité de courte durée aux employés, auquel cas soit une partie de l’argent est prélevée sur le chèque de paie chaque mois, soit l’entreprise paie la totalité de la prime. L’invalidité à court terme verse aux nouvelles mères éligibles une partie de leur salaire jusqu’à six semaines, bien que les femmes ayant des accouchements compliqués puissent obtenir plus de temps libre. Le droit au congé de maternité au Royaume-Uni dure généralement environ un an et tend à offrir la majorité du salaire pendant cette période. Les nouveaux parents au Canada peuvent obtenir une partie de leur salaire jusqu’à 50 semaines, tandis que ceux en Australie peuvent obtenir un an de congé sans solde ou jusqu’à 18 semaines payées au salaire minimum.