Choisir des fonds communs de placement plutôt que de choisir des actions individuelles dépend de la façon dont les fonds sont gérés et dans quels secteurs de l’économie ils sont investis. En 2010, 7,581 XNUMX fonds communs de placement étaient négociés sur les marchés américains, ce qui dépasse la sélection d’actions individuelles disponibles. Cela est dû au fait que les entreprises de gestion de fonds réalisent des bénéfices garantis sur la gestion des fonds communs de placement grâce à des charges d’investissement et des frais de gestion de routine qui ne sont pas facturés sur les achats d’actions individuelles. Par conséquent, le choix des fonds communs de placement doit d’abord se concentrer sur les frais qu’ils facturent et sur la manière dont les portefeuilles qu’ils représentent sont négociés sur le marché pour les maintenir dans un cycle de croissance positif.
Une approche de départ pour choisir des fonds communs de placement consiste à rechercher des fonds qui existent depuis longtemps, au moins une décennie ou plus, avec un historique de croissance positive. Ces types de fonds sont généralement gérés par des équipes ou des gestionnaires de fonds qui sont impliqués depuis le début du fonds. Les fonds communs de placement à croissance positive sont également généralement diversifiés sur de larges segments du marché au lieu d’un seul secteur de marché, comme le transport, l’énergie ou la vente au détail. Un fonds diversifié dans de nombreux secteurs de l’économie aura une croissance plus prévisible au fil du temps qu’un fonds axé sur les industries connexes.
Les tendances historiques montrent que les rendements boursiers généraux sont en moyenne de 10 % par an pour les actions individuelles et de 13 % par an pour les fonds communs de placement. Le choix des fonds communs de placement doit donc se concentrer sur ceux qui peuvent afficher un taux de rendement moyen de 13 % sur plusieurs décennies de fluctuations du marché. Il est également important de faire la distinction entre le taux de rendement annualisé d’un fonds et le rendement des investisseurs. Le taux de rendement annualisé d’un fonds commun de placement est son pourcentage de croissance globale, qui peut souvent sembler très positif, mais le taux de rendement de l’investisseur est le pourcentage réel de croissance après soustraction des frais facturés à l’investisseur, ce qui peut être inférieur de 10 % à le taux de croissance déclaré du fonds.
Les frais d’un fonds commun de placement comprennent les frais d’acquisition ou la charge pour l’achat du fonds et des frais d’achat lorsqu’un particulier investit plus d’argent dans le fonds. Il existe également des frais différés lorsque l’investisseur vend sa participation dans le fonds et des frais de rachat pour vendre une partie du fonds. Les équipes de gestion des fonds communs de placement peuvent également cumuler d’autres frais, tels que les frais de change pour le transfert des actifs du fonds au sein du groupe de fonds ou les frais de compte si l’investissement n’atteint pas une valeur monétaire minimale. Outre ces frais traditionnels, l’équipe de gestion du fonds facturera également aux investisseurs des frais d’exploitation annuels et des frais de gestion. Tous ces frais peuvent faire passer un fonds commun de placement dont les performances sur le marché sont positives en territoire négatif pour l’investisseur individuel. Ils doivent donc être examinés attentivement avant d’acheter dans le fonds.
Les fonds de croissance à taux de rotation élevé peuvent souvent afficher des gains en pourcentage de 100 % ou plus au cours d’une année, mais le choix des fonds communs de placement ne devrait jamais être basé sur la performance d’une seule année. Si l’historique du fonds est axé sur la croissance, il incite les investisseurs à y investir pendant les périodes de forte croissance, mais ces périodes sont souvent basées sur des tendances de marché éphémères et sont compensées par de nombreuses années de performances négatives. Le choix de tels fonds exige que l’investisseur garde un œil attentif sur leurs performances, car la volatilité entraînera certains échanges à la hausse et à la baisse sur une base trimestrielle. Cela va à l’encontre de l’idée de base d’investir dans un fonds en premier lieu, ce qui est fait dans l’intention qu’il soit géré de manière professionnelle sans nécessiter un examen minutieux de la part de chaque investisseur individuel. Les conseillers en placement suggèrent de choisir des fonds communs de placement bien établis et qui enregistrent de petits gains année après année, car ils reflètent les véritables taux de croissance du marché sur l’ensemble du marché.
Choisir des fonds communs de placement qui sont annoncés comme sans frais et qui ne facturent pas de commissions réduira certains des coûts initiaux, mais les frais de gestion et de dépenses seront toujours imputés au fonds chaque année. Afin de maximiser la diversité, l’analyse statistique a montré qu’un portefeuille de 20 actions de différentes industries réduit le risque autant que possible. Les meilleurs fonds communs de placement sont donc ceux qui gèrent une vingtaine d’actions différentes, avec des frais peu élevés et des taux de croissance relativement lents et prévisibles sur plusieurs années.