La colère au travail est la frustration générale qu’un employé ou un employeur peut ressentir envers ses collègues pour diverses raisons. Si rien n’est fait, cela peut constituer une menace pour les performances des travailleurs, la responsabilité de l’entreprise et un environnement de travail généralement positif. Une telle colère résulte souvent d’un manque de contrôle sur une tâche ou une situation, quelle que soit la position d’un travailleur dans la chaîne de commandement. Plusieurs facteurs environnementaux peuvent être à l’origine de l’hostilité professionnelle et il est recommandé d’aborder ces facteurs avec calme et logique.
Lorsque les actions ne sont pas suivies d’effet ou sont exécutées de manière incorrecte, la colère au travail en résulte souvent. Cette situation pourrait potentiellement donner l’impression que quelqu’un a perdu le contrôle d’une tâche ou d’un projet, souvent par la faute d’un collègue ou d’un employé. Plutôt que d’utiliser l’intimidation et de permettre à cette colère de se manifester physiquement, il est recommandé de prendre des mesures logiques de résolution de problèmes. Garder la colère sous contrôle est souvent essentiel pour les postes de direction, car le roulement du personnel est susceptible d’être plus élevé sous des patrons capricieux.
Les petites entreprises sont particulièrement confrontées à une menace élevée de colère et d’hostilité au travail. Cela résulte du stress et de la chaîne de commandement minimale souvent associée à de telles entreprises. Il est recommandé que les propriétaires de petites entreprises aient des plans pour aborder la colère au travail, qu’elle soit réellement présente ou potentiellement présente, afin d’éviter les responsabilités légales découlant de situations hostiles.
Il existe de nombreuses causes de colère au travail. Les critiques publiques, le favoritisme, les ressources ou la formation inadéquates pour l’accomplissement des tâches et les exigences déraisonnables associées à un faible salaire ou à des avantages sociaux médiocres peuvent tous contribuer à l’hostilité. Souvent, un manque de rétroaction positive constitue un facteur contributif important. Une critique légitime est souvent nécessaire lorsqu’il s’agit d’un mauvais rendement au travail, mais une telle distinction peut ne pas être facilement visible pour le travailleur contrarié.
La colère au travail implique souvent un certain niveau de lutte pour le pouvoir. Un superviseur peut être enclin à exercer son pouvoir à un degré que ses subordonnés trouvent écrasant ou irrespectueux. Cela pourrait conduire à une situation qui reflète l’intimidation. L’intervention des gestionnaires ou des propriétaires peut être nécessaire si un employé n’est pas en mesure de faire face lui-même à une telle situation.
Certaines des causes de la colère au travail ont tendance à être plus graves que le simple fait de travailler dans un environnement pas si positif. La violence, le racisme, la discrimination et le harcèlement sexuel peuvent être soit des sources de colère, soit des formes de colère sur le lieu de travail. Cependant, la plupart des entreprises ne toléreront pas un tel comportement et une action en justice est généralement requise dans de tels événements.
Les explosions de colère peuvent résulter d’environnements de travail stressants, aggravants ou hostiles. De telles explosions peuvent inclure de simples cris, un arrêt brusque ou même du vandalisme. Certains signes indiquant qu’un travailleur ou un employé est bouleversé comprennent l’irritabilité, le sarcasme, un comportement antisocial, une qualité de travail incohérente ou un attachement émotionnel obsessionnel au travail ou au projet en cours. Aborder un tel comportement peut aider à éviter une explosion de colère de la part d’un collègue.
Lorsque vous traitez avec un patron ou un collègue visiblement contrarié, il est recommandé d’éviter certaines actions. Il est préférable de ne pas discuter ou d’égaler la colère de la personne hostile. De plus, il peut être avantageux d’éviter de reconnaître la perte de contrôle de la personne sur la situation. Au lieu de cela, reconnaître le simple fait qu’il ou elle est bouleversé(e) validera la situation, et proposer d’aider à remédier à la situation offrira une solution alternative à la colère improductive.