L’anxiété des étrangers est une détresse causée par des étrangers. Le problème est généralement reconnu comme infligeant aux enfants principalement au cours de leurs deux premières années de vie. Il n’y a généralement pas de liste fixe de symptômes. Certains enfants peuvent tranquillement s’accrocher à leurs parents. D’autres peuvent pleurer de façon incontrôlable. Bien que les réactions varient, la plupart des enfants manifestent une certaine forme d’anxiété envers un étranger à un moment donné.
Il est généralement entendu que les enfants traversent des phases. À un certain moment de la première année de vie, les enfants commencent généralement à se rendre compte que tous les êtres humains ne sont pas les mêmes. Ils commencent à reconnaître qu’il y a des gens qui leur montrent de l’amour et sur qui ils peuvent compter pour des choses comme la nourriture et le confort. Lorsque cela se produit, d’autres personnes peuvent commencer à sembler effrayantes ou intimidantes parce qu’un enfant peut ne pas comprendre ce qu’il peut attendre de ces personnes.
Les parents ne devraient pas trop s’inquiéter d’un enfant qui montre des signes d’anxiété à l’égard d’un étranger. Les autres adultes, tels que les parents et les baby-sitters, ne devraient pas non plus s’offenser ou blâmer les tactiques d’éducation des enfants des parents. Il n’est généralement pas nécessaire de rechercher une aide professionnelle pour ce problème.
On conseille souvent aux parents d’accepter l’anxiété des étrangers comme normale et de ne pas forcer l’enfant à s’adapter facilement aux étrangers. Les compétences sociales sont généralement acquises. Les adultes ont tendance à montrer des préférences envers les personnes et les situations qui les mettent à l’aise. Les enfants doivent également avoir la possibilité de développer cette partie de leur personnalité.
Dans de nombreux cas, l’anxiété des étrangers peut être contrée en laissant à l’enfant le temps de s’adapter à de nouvelles personnes et à de nouveaux environnements. Si un enfant est emmené chez un ami ou un parent, par exemple, ces proches peuvent souhaiter instantanément tenir ou jouer avec l’enfant. Il peut être préférable que l’enfant reste avec un parent pendant un certain temps, ce qui lui permet de se familiariser avec les gens et le lieu.
L’anxiété de l’étranger n’est généralement pas considérée comme une raison suffisante pour protéger un enfant de tous les étrangers. Cela peut aggraver le problème plus qu’il n’aide. Les enfants peuvent ne pas développer correctement leurs compétences sociales s’ils sont privés d’environnements sociaux normaux.
Il peut également y avoir des situations où un parent ne peut pas éviter de forcer l’enfant à faire face à son anxiété de l’étranger. Par exemple, un parent qui travaille peut n’avoir d’autre choix que de confier l’enfant à une baby-sitter. Les parents n’ont généralement pas à s’inquiéter des effets permanents tels que les traumatismes ou les dommages psychologiques. De telles situations peuvent en effet aider l’enfant à surmonter plus rapidement sa détresse.