Un profane peut considérer l’haltérophilie comme un sport simpliste dans lequel les concurrents essaient de soulever des poids très lourds et où celui qui en soulève le plus gagne. Ce sport, cependant, propose en fait trois types d’ascenseurs différents dans l’ordre suivant : le squat, le développé couché et le soulevé de terre. La dynamophilie est similaire au sport de l’haltérophilie olympique en ce sens que les concurrents ont trois ou quatre tentatives pour soulever chaque poids, mais les types d’ascenseurs sont différents. Les concurrents de dynamophilie sont divisés en catégories en fonction du poids, de l’âge et du sexe, et les événements peuvent consister en un, deux ou les trois types de levage. Alors que la force est l’avantage le plus certain pour un haltérophile, si deux athlètes soulèvent la même quantité de poids dans une compétition, celui qui pèse moins gagne.
Le premier type d’ascenseur dans une compétition de dynamophilie est le squat. Cela implique que l’athlète repose la barre de poids sur le dos tout en se tenant droit, puis en pliant les jambes de sorte que les hanches soient plus basses que les genoux. Ensuite, l’athlète doit garder le contrôle du poids et revenir debout, en attendant le signal de l’arbitre avant de poser le poids. L’athlète ne peut pas bouger les pieds ni faire rebondir le poids à aucun moment pendant le mouvement.
Dans le deuxième type d’ascenseur, un développé couché, l’athlète s’allonge sur un banc de musculation et tient la barre de poids au niveau de la poitrine. Lorsqu’il est signalé par l’arbitre, l’athlète étend complètement les bras pour soulever le poids et doit le maintenir stable dans cette position jusqu’à ce que l’arbitre donne la permission de le remettre sur le banc.
Pendant le soulevé de terre, le dernier type de levage, la barre de poids repose sur le sol et l’athlète doit la ramasser et se mettre en position debout. Pour recevoir le crédit pour l’ascenseur, l’athlète doit verrouiller les genoux et ne peut pas trébucher ou bouger les pieds. Lorsque l’arbitre estime que l’athlète a maintenu le poids régulièrement dans cette position, il donne un signal et l’haltérophile doit abaisser la barre de poids au sol avec contrôle et sans la laisser tomber.
La dynamophilie permet aux concurrents d’avoir entre deux et cinq observateurs présents pour aider à divers aspects de la compétition, comme ramener la barre de poids sur le rack après un ascenseur ou aider un athlète qui perd le contrôle d’un poids. Les pareurs doivent faire attention à ne pas interférer avec les ascenseurs réels, ce qui peut entraîner la disqualification de l’athlète.