Un arrangement en espèces ou différé, ou CODA, est un plan d’investissement qui permet aux employés de cotiser une partie de leur salaire au plan. L’un des meilleurs exemples d’un arrangement en espèces ou différé est le plan 401 (k), qui permet aux employés d’autoriser des montants à déduire de chaque chèque de paie et à contribuer au plan. Ces cotisations sont souvent investies dans des placements relativement sûrs et sécuritaires, ce qui permet au régime de générer des revenus d’intérêts pour l’employé qui peuvent être prélevés plus tard.
L’un des principaux avantages d’un arrangement en espèces ou différé pour un employé est qu’il est relativement facile et indolore d’économiser de l’argent pour l’avenir. Étant donné que les cotisations sont structurées sous forme de montants fixes qui sont déduits de manière cohérente, il n’y a aucune tentation de renoncer à verser une cotisation. Étant donné que la déduction est automatique, de nombreux employés oublient tout l’arrangement en espèces ou différé, jusqu’à ce que le relevé trimestriel ou annuel arrive pour montrer le montant en espèces qui s’est accumulé dans le plan.
La plupart des entreprises n’autorisent pas les employés à s’inscrire puis à démissionner d’un arrangement en espèces ou différé sur un coup de tête. Souvent, un nouvel employé a la possibilité de souscrire au régime au moment de son embauche. D’autres employés peuvent avoir la possibilité de s’inscrire ou de se retirer du régime une fois par année civile. Ces lignes directrices garantissent qu’une fois inscrit au régime, l’employé commencera à se constituer un pécule pour l’avenir sans avoir à faire d’effort supplémentaire.
Parallèlement à un arrangement en espèces ou différé parrainé par l’employeur, tel qu’un plan 401 (k), certains employés choisissent également de maintenir un compte de retraite individuel ou IRA. Lorsque les deux plans sont utilisés pour créer des ressources pour l’avenir, il est à noter que le montant de la contribution au CODA peut ne pas être déductible. Pour déterminer si c’est le cas ou non, c’est une bonne idée de vérifier auprès d’un fiscaliste qui connaît bien les lois fiscales locales, étatiques et nationales relatives à ces types de plans.