Un prêt sur valeur domiciliaire permet aux propriétaires d’accéder à la valeur nette de leur résidence principale sans avoir à vendre la propriété. L’équité est la différence entre ce que vaut une maison et ce qui lui est dû. Traditionnellement, les prêts sur valeur domiciliaire étaient appelés deuxième et troisième hypothèques.
La valeur nette d’une maison provient de deux sources. Les versements hypothécaires, sur une période de temps, réduisent le montant dû sur une propriété, et l’appréciation de l’immobilier augmente la valeur brute. Après plusieurs années de versements hypothécaires, la valeur nette accumulée peut être importante. Par exemple, une maison achetée pour 250,000 5 $ avec un prêt hypothécaire sans mise de fonds et qui s’apprécie de 50,000 % par an peut avoir XNUMX XNUMX $ de valeur nette en aussi peu que cinq ans.
Les banques et les sociétés de financement accordent souvent des taux avantageux sur les prêts sur valeur domiciliaire, car l’immobilier est perçu comme un investissement très stable. Cela est particulièrement vrai lorsque l’économie n’est pas en difficulté, car l’immobilier a une longue histoire d’appréciation. Les prêteurs hypothécaires ont également accès à des agences quasi gouvernementales telles que l’Agence nationale fédérale des hypothèques (Fannie Mae) qui réduisent les taux de prêt en déplaçant le risque d’intérêt loin du prêteur.
Bien que les prêts sur valeur domiciliaire aient des taux favorables par rapport aux prêts automobiles ou aux dettes de cartes de crédit, les taux sont toujours plus élevés que pour une première hypothèque. Un prêt sur valeur domiciliaire peut être transformé en première hypothèque grâce à un processus connu sous le nom de refinancement.
Une hypothèque inversée est semblable à un prêt sur valeur domiciliaire en ce sens qu’elle permet d’accéder à la valeur de rachat de la valeur nette du propriétaire. Au lieu d’une somme forfaitaire, cependant, une hypothèque inversée paie en versements mensuels ou trimestriels. Les prêts hypothécaires inversés sont destinés aux personnes âgées qui souhaitent un revenu supplémentaire, mais qui ne souhaitent pas vendre leur maison et déménager. Au décès, la maison est soit vendue par la succession, soit le titre revient au prêteur, qui vend ensuite la propriété lui-même.