Qu’est-ce qu’un syndrome d’automutilation ?

Le syndrome d’automutilation est un terme utilisé pour les personnes qui se font volontairement du mal. Les personnes qui s’automutilent sont parfois suicidaires ou peuvent se suicider accidentellement en s’automutilant. Les techniques utilisées pour s’automutiler sont variées, allant de la coupe à la brûlure ou à la collision avec des objets solides. Les humains ne sont pas les seuls animaux sur la planète à se faire du mal ; Le syndrome d’automutilation a été observé chez des animaux captifs comme des perroquets et des chiens. Le syndrome du self-ham fait toujours l’objet de recherches, mais des techniques ont été développées pour y faire face sans aide professionnelle.

Les personnes qui s’automutilent ne sont pas toujours suicidaires, mais un nombre important de victimes de suicide présentent des signes de syndrome d’automutilation. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les gens s’infligent des blessures, de la dépression aux troubles de santé mentale. Le problème est également observé chez les personnes de tous âges, des jeunes enfants aux personnes âgées. Il est associé à la plupart des abus, aux troubles de santé mentale et aux adolescents, car il est le plus souvent observé chez les personnes de cet âge.

Ce syndrome se manifeste le plus souvent par des coupures à divers endroits du corps. Les bras, les jambes et les organes génitaux ne sont pas exempts du syndrome d’automutilation, et de nombreuses personnes qui souffrent de ce problème feront de grands efforts pour cacher les cicatrices et les coupures fraîches. Par exemple, porter des bracelets ou des chemises à manches longues même pendant l’été peut cacher des coupures sur les bras, les poignets ou les mains. Les brûlures, les ecchymoses et les taches chauves sur la tête dues aux cheveux arrachés peuvent également être la preuve d’un syndrome d’automutilation.

Les animaux sauvages et domestiques en captivité peuvent présenter des symptômes du syndrome d’automutilation. Par exemple, les perroquets développent parfois l’habitude d’arracher toutes les plumes à leur portée. Les chiens peuvent se lécher les pattes jusqu’à ce qu’elles soient à vif et saignent à cause de troubles obsessionnels compulsifs ou même d’ennui. Chez les chiens, le problème est souvent observé chez les grandes races laissées seules pendant des périodes auxquelles elles ne sont pas habituées. De plus, des ours captifs se sont parfois jetés contre les barreaux de la cage jusqu’à ce qu’ils meurent ou perdent connaissance.

La recherche suggère que le simple fait de rester occupé peut aider à réduire la quantité d’automutilation qu’une personne fait. Le fait d’être entouré d’amis, de se promener ou de faire du jogging ou de participer à d’autres activités quotidiennes saines peut également aider une personne à éviter l’automutilation. De plus, il ou elle peut développer d’autres habitudes, comme faire claquer un élastique contre le poignet, qui font mal mais ne causent pas de blessure. Le succès d’une technique d’évitement dépend beaucoup de la raison pour laquelle la personne se fait du mal en premier lieu.