Bon nombre des biens qui appartiennent à des particuliers pour des raisons personnelles ou d’investissement sont appelés immobilisations aux fins de l’impôt. De plus en plus de personnes investissent dans des actions, des obligations, des fonds communs de placement, des métaux précieux et d’autres actifs pour augmenter leurs revenus. Les bénéfices tirés de l’achat et de la vente d’immobilisations sont appelés gains en capital. Aux États-Unis, les impôts prélevés sur ces bénéfices diffèrent selon la durée pendant laquelle une personne détient un actif donné avant de le vendre. Les plus-values à long terme sont des gains provenant d’actifs qui ont été détenus pendant plus d’un an avant d’être vendus.
Les gains en capital à long terme sont imposés à un taux inférieur à celui des gains en capital à court terme aux États-Unis. Selon la tranche d’imposition dans laquelle se trouve une personne, son taux de gains en capital à long terme peut être de 15 % ou de XNUMX %. Le raisonnement derrière les différents taux est d’inciter les investisseurs à minimiser les investissements spéculatifs à court terme, offrant ainsi une meilleure stabilité des marchés financiers et de l’économie en général.
Il est souvent avantageux pour les investisseurs d’attendre pour vendre un actif jusqu’à ce qu’ils l’aient possédé pendant plus d’un an, ce qui leur permet de bénéficier du taux d’imposition plus bas à long terme sur les plus-values. À la lumière de ce fait, il est très important pour les investisseurs de suivre leurs investissements et, en effet, une grande partie de la planification fiscale effectuée par les investisseurs vise à tirer parti des opportunités de réduire les impôts qu’ils paient sur les bénéfices de leurs investissements.
Les impôts sur les gains en capital à long terme ne sont évalués qu’au niveau fédéral aux États-Unis et sont déclarés sur le formulaire 1040 de l’Internal Revenue Service (IRS), annexe D. Les États individuels imposent également les gains en capital à long terme, mais ils sont imposés, dans la plupart des cas. cas, au même taux que les revenus ordinaires, tels que les salaires d’emploi.