Un vaccin contre la coqueluche, également connue sous le nom de coqueluche, a été développé dans les années 1940 pour lutter contre cette maladie mortelle. Auparavant, la coqueluche était l’une des principales causes de maladie grave et de décès chez les jeunes enfants. L’immunisation via le vaccin contre la coqueluche est désormais une norme pour les nourrissons, et l’inoculation contre la coqueluche est généralement associée à des vaccins contre des maladies telles que la diphtérie et le tétanos.
La vaccination contre la coqueluche n’est pas différente des autres techniques de vaccination, en ce sens qu’elle a été affinée et améliorée au fil des ans. L’injection initiale contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTP) a finalement été remplacée par un nouveau vaccin contre la coqueluche. Cette version contenait toujours une protection contre la diphtérie et le tétanos, mais ne comprenait que les parties acellulaires du vaccin contre la coqueluche nécessaires pour combattre l’infection bactérienne. L’injection est connue sous le nom de vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche acellulaire (DCaT).
Les enfants reçoivent cinq injections du vaccin DTaP, la première étant administrée à l’âge de deux mois. Des injections de rappel sont ensuite administrées à l’âge de quatre mois, six mois, 18 mois et quatre à six ans. En 2005, une nouvelle amélioration a été apportée à la vaccination contre la coqueluche. Une inoculation unique administrée aux adolescents à tout moment entre 11 et 18 ans (Tdap) offre des degrés de protection plus élevés contre le tétanos, mais contient des quantités réduites de diphtérie et de bactéries coquelucheuses acellulaires.
La vaccination contre la coqueluche est considérée comme une vaccination cruciale pour les nourrissons et les enfants et est recommandée par des organisations de santé telles que l’American Academy of Family Physicians (AAFP), les Centers for Disease Control (CDC) et l’American Academy of Pediatrics (AAP). On ne saurait trop insister sur la nécessité de la vaccination, car la coqueluche est une infection extrêmement contagieuse des voies respiratoires. Elle se propage par voie aérienne et les personnes sans protection peuvent facilement contracter la maladie. Bien que les enfants soient les plus sensibles, la coqueluche est un danger pour les adultes qui n’ont pas terminé un cycle complet de vaccinations ou qui ont perdu un certain degré d’immunité.
La vaccination contre la coqueluche s’est avérée très efficace pour arrêter ce tueur d’enfance, mais les injections entraînent parfois des effets secondaires tels que de la fièvre, des douleurs et des crises prolongées de pleurs chez les nourrissons. Pour ces raisons, et parce qu’il y a une idée fausse parmi certains segments du grand public que la coqueluche a été anéantie, certaines personnes ont décidé de renoncer à la vaccination contre la coqueluche. En conséquence, de plus en plus de nouveaux cas de coqueluche sont observés chaque année.