Une obligation municipale, également appelée obligation municipale, est un investissement dans une ville. Les collectivités locales les proposent pour financer de nombreux projets de la ville. Les obligations municipales peuvent être utilisées pour des éléments d’infrastructure comme les routes, les ponts, les égouts et les bâtiments nécessaires comme les écoles, les hôpitaux et les prisons. Parfois, ils sont même utilisés pour construire des structures touristiques comme des stades. La décision d’investir dans une obligation municipale ne doit pas être prise à la légère et doit être étudiée autant que toute autre décision d’investissement.
Afin de comprendre le risque lié à une obligation munie, il est important de comprendre comment les obligations fonctionnent. Un investisseur donne de l’argent à la ville. En échange, les gouvernements locaux versent des intérêts aux obligataires environ tous les six mois. Cet intérêt est exempt d’impôt fédéral et souvent même d’État et local gratuit si l’obligation municipale est achetée par un résident de l’État ou de la ville financée.
Historiquement, les obligations municipales ont été considérées comme un investissement sûr. Moins de 1 % des obligations municipales ont fait défaut depuis la Seconde Guerre mondiale. Les obligations sont garanties par le gouvernement local, ce qui signifie dans de nombreux cas qu’elles peuvent lever les fonds nécessaires pour payer leurs dettes grâce à des impôts supplémentaires.
Il existe trois types d’obligations municipales. Les obligations d’obligation générale ont le taux le plus bas, mais sont considérées comme les plus sûres. Ils sont une promesse de bonne foi de rembourser la dette. Les obligations-recettes promettent leurs paiements à partir d’une source de revenus spécifique, comme les services publics gérés par la ville. Les obligations d’évaluation obtiennent leurs paiements sur les impôts fonciers des propriétés situées dans les limites de la ville.
Avec de nombreux magazines de renom soutenant les obligations muni en 2009 comme une alternative sûre à l’investissement en actions, de nombreux citoyens américains ont commencé à se demander si les obligations étaient aussi sûres qu’elles le semblaient. À titre de comparaison, les actions entre 1926 et 2009 ont enregistré en moyenne un rendement de 9.6 %, soit environ 7 % après impôts. Les obligations municipales en 2009 se situaient dans la fourchette d’imposition de 8 %. Toujours en 2009, le muni bond a eu un rendement plus élevé que les bons du Trésor pour la première fois en plus de 50 ans. Plusieurs grandes banques ont également fermé en 2008, laissant certains s’interroger sur la sécurité des comptes d’épargne ordinaires. Comparé à ces alternatives d’investissement fluctuantes, le muni bond ressemblait à un investissement sûr pour beaucoup.
Les défauts des émetteurs d’obligations municipales sont extrêmement rares, mais ils se produisent. En période économique difficile, ces défauts sont plus susceptibles de se produire. Une grande partie de la sécurité et de la valeur d’une obligation munie est liée à la capacité perçue de rembourser la dette, une perception qui change lorsque l’économie est morose. Les villes obtiennent leurs revenus pour rembourser les obligations par le biais de l’impôt sur le revenu, de la taxe de vente et de l’impôt foncier. Si les gens sont sans travail et n’achètent pas de produits, les revenus de la ville diminueront, tout comme la valeur de l’obligation.
De grandes sociétés indépendantes comme Standard and Poor’s, Moody’s et Fitch évaluent les obligations municipales. Selon ces sources, une cote de crédit de BBB, Baa ou mieux est généralement considérée comme bonne pour l’investissement. La plupart des experts conviennent que ces évaluations ne sont pas toujours exactes et que d’autres facteurs doivent toujours être pris en compte.
Il existe plusieurs façons d’empêcher rapidement un muni bond. Une assiette fiscale instable est une mauvaise chose, car la plupart des revenus nécessaires au paiement des obligations proviennent des impôts. Les impôts ne doivent pas avoir un historique constant de fluctuation. De plus, plus le taux d’intérêt offert sur l’obligation est élevé, plus l’investissement est risqué. Des taux d’intérêt plus bas offrent moins de rendement, mais une plus grande sécurité pendant les périodes économiques difficiles.
Lors du choix d’une obligation municipale, les investisseurs doivent consulter attentivement la déclaration officielle de l’émetteur. Ces divulgations obligatoires donnent aux investisseurs toutes les informations financières nécessaires pour voir si une obligation semble sûre. Des mots comme « option d’achat », « inverse » et « dérivé » sont des mots clés qui signifient qu’une obligation n’est pas aussi stable que d’autres options. Une rotation de portefeuille de 50 % ou plus indique des transactions excessives et donc des obligations instables. Chaque fois qu’un investisseur est incertain, le mieux est de consulter un conseiller en investissement qui peut l’aider à décider de la meilleure voie d’action.